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 Chapitre 343 - Compte à rebours, part 1 : Mort à l'arrivée

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Jezekiel
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Jezekiel


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16042017
MessageChapitre 343 - Compte à rebours, part 1 : Mort à l'arrivée

Terre 6354 - Siège de l’Unicorps - Extérieurs

Le temps semblait s’être arrêté. Frédéric regardait vers le ciel le déluge de bombes qui allait tout anéantir tandis que Miles et Wormcell sortaient à peine d’un vortex dimensionnel. Tous deux eurent tout juste le temps de lever la tête vers les bombes que celles-ci s’ouvraient. Sur chacune d’entre elles, quatre gigantesques plaques de métal se détachèrent en plein vol. Était-ce une sorte de mécanismes à shrapnel ? Même si ces plaques n’étaient rien comparées à la puissance explosive d’une bombe de cette taille, elles feraient tout de même des dégâts là où elles atterriraient. C’est alors que Frédéric réagit. Il tira un puissant jet de flammes sur la bombe la plus proche d’atteindre le sol. Sa tactique réussit, il parvint à la faire exploser en plein vol. Alors qu’il s’attendait à une puissante explosion, Frédéric fut surpris par la faiblesse de la détonation. Une mal fonction ou quoi que ce soit d’autre, ce n’était pas le moment de se poser des questions. Il ne lui restait qu’une poignée de secondes avant que tout ne soit réduit en cendres. Il zébra le ciel d’un nouveau tir et une fois encore, la bombe visée explosa faiblement. Mais il continua à ne pas s’appesantir sur la question. Il parvint à en exploser encore deux autres avant que les bombes ne commencent à frapper le sol ... et n’explosent pas, à la surprise de tout le monde.

Le choc des bombes au contact du sol faisait trembler ce dernier mais aucune explosion ne s’ensuivait. Quant aux plaques de métal, de par leur poids, elles se fichaient dans tout ce qu’elles rencontraient : la terre des jardins, le bitume des routes, le béton des immeubles. Miles suivait la trajectoire de chacune d’entre elles jusqu’au moment où il en vit une le menacer directement. Avec un calme olympien, il puisa dans les ressources de Nwa et dévia la plaque d’une claque presque anodine. Le ciel était à nouveau vide de menaces.

« - Bon ! C’est quoi ce délire ? On nous balance sur la gueule des bombes qui n’explosent pas maintenant ? » fit Miles.

Frédéric s’approcha de l’une d’entre elles. Les plaques de métal avaient découvert l’intérieur de la bombe. Miles se rapprocha de Frédéric, tenant Wormcell par sa chaîne, ne lui laissant que peu de jeu. Mais ce dernier se débattait de façon hystérique, comme sur la précédente Terre qu’ils avaient visitée tous les deux. Frédéric tourna un instant le regard vers le prisonnier.

« - Qu’est-ce qu’il a ? »

« - Je ne sais pas ! Il doit avoir peur de moi, c’est tout. Ce qui pique ma curiosité c’est l’aspect de cette bombe. Normalement, l’intérieur ne devrait pas ressembler à ... un épi de maïs géant, si ? »

« - Non, effectivement ... »

Mais Frédéric s’arrêta lorsqu’il vit un mouvement dans ce qui ressemblait à un grain de maïs. Rapidement, tous les autres grains virent quelque chose s’agiter à l’intérieur.

« - Bon sang ! » fit Frédéric en comprenant ce que c’était.

Au même moment, l’une des poches éclata et une petite créature se jeta à la figure de Frédéric ... avant d’exploser sous l’effet d’un tir énergétique aussi puissant que fin et précis. Frédéric et Miles remontèrent du regard la trace du tir, qui se dispersait déjà dans l’air, jusqu’à un homme entièrement recouvert d’une combinaison de combat high-tech et accroché d’une curieuse façon à la façade du siège de l’Unicorps. Il s’agrippait à la façade via ses deux pieds et de sa main gauche. Ces derniers étaient parcouru de fins arcs électriques qui se répandaient sur la façade. De sa main droite, il tenait un fusil si imposant et lourd que quiconque aurait dû le tenir à deux mains. Il était doté d’une interface holographique qui lui assurait une précision optimale. A peine Frédéric et Miles reconnurent-ils le mystérieux inconnu qu’ils avaient vu en compagnie du Général Ravenwork avant de partir pour la Terre 8809, que celui-ci tira à nouveau en leur direction ... pour exploser une nouvelle créature qui surgissait de sa poche.

Cela les rappela tous les deux à la réalité. La nuée de bombes n’avait nullement pour but de tout dévaster par des explosions. C’étaient des bombes biologiques, des bombes renfermant des poches incubatrices réunies en grappes d’où surgiraient, dans les secondes à venir, des dizaines de créatures aptes à tuer quoi que ce soit dès leur naissance. Le Mastercorps comptait sur cette deuxième vague de prédateurs pour éliminer les dernières poches de résistance. Une troisième fois, l’inconnu explosa une créature qui venait tout juste d’éclore. Cette fois, cela fit réagir Frédéric. Il s’embrasa et déversa un torrent de flammes sur la grappe juste face à lui. Durant plusieurs secondes, de faibles détonation se firent entendre. Chacune d’entre elles signifiait qu’une poche venait d’exploser sous la chaleur. Une fois qu’il eut fini, Frédéric éteignit ses flammes. Miles en profita alors pour poser une main sur son épaule.

« - C’est pas que j’aime pas te voir réduire ces saletés à l’état de popcorn carbonisés mais tu n’arriveras jamais à toutes les détruire avant qu’elles ne se répandent partout » lui dit-il tandis que l’inconnu tirait sur la moindre créature qui avait le malheur d’éclore.

Frédéric regarda Miles dans les yeux. Puis il se retourna vers ce qui était dorénavant devenu un véritable champ de mines à perte de vue. Il savait que son ami avait raison. C’est alors qu’un tir lui effleura la joue. Il se retourna alors vers l’inconnu, en fronçant les sourcils, ne pouvant croire qu’il avait raté son tir avec une telle arme. Ce n’était effectivement pas le cas. L’inconnu leur faisait signe de revenir au bâtiment. Miles se téléporta avec son prisonnier jusqu’à l’étage où il avait laissé Giaz. De son côté, Frédéric serra les dents puis s’enflamma et s’envola jusqu’à la fenêtre qu’il avait brisée avant d’étouffer ses flammes. Quant à l’inconnu, il couvrit les arrières de Frédéric avant de replier son fusil, le fixer dans son dos et de rentrer à son tour par la fenêtre brisée. Là, Frédéric l’empoigna immédiatement par la gorge.

« - Plus jamais tu me tires dessus ! » lui dit-il avec une hargne non dissimulée.

L’inconnu ne lui répondit pas. Néanmoins, il fit s’échapper un puissant jet d’air comprimé de son armure. Plus surpris qu’autre chose, Frédéric lâcha prise. Les deux hommes se toisèrent du regard, immobiles, durant de longues secondes.

« - Cccce n’est pas le moment de sssse battre entre nous ! » fit alors Giaz en sortant de son camouflage naturel.

« - Ccccette Terre est perdue, quittons-la ! » dit alors une voix semblable à celle de Giaz.

Apparut alors le Giaz du Mastercorps aux côtés de son homologue. Au même moment, l’inconnu disparut à la vue de tous. Frédéric se retourna vers la vitre brisée. En contrebas, il vit les créatures éclorent par dizaines, par centaines. A peine écloses, ces saletés s’élançaient à la recherche d’une quelconque proie. Ce n’était pas cet aspect de leur propagation qui dérangeait Frédéric, il avait vu les charognards mi-reptile, mi végétal errer dans les rues. Non, ce qui le dérangeait fut leur développement. Au fil de leur pas, leur corps se développait à vue d’œil pour prendre leur taille adulte en à peine quelques secondes. Les rares civils qui avaient survécu jusque-là étaient perdus. Ils devaient à tout prix amener ceux qu’ils avaient escortés jusqu’ici jusqu’au portail spatial.
_____________

Janus 24 ??? - ???

Alors que son corps se remettait progressivement de ses importantes injures, Frédéric restait immobile, circonspect face à l’apparition du chozo. Il ne parvenait pas à déterminer quel comportement adopter face à l’alien impassible devant lui. L’extraterrestre aviaire se tenait droit et immobile. Son langage corporel ne trahissait aucune animosité mais aucune amicalité non plus. Il était là, c’était tout. Avait-il conscience de la présence de Frédéric ? Ce dernier commença à en douter. Il fit un pas de côté mais le chozo ne sembla pas le suivre du regard. C’est alors qu’il émit un petit claquètement avec son bec.

Il était donc bien présent. Ce n’était pas un quelconque hologramme. Frédéric décida de s’approcher de lui. A peine eut-il fait un pas en sa direction que l’alien refit son claquètement. Était-ce un signe d’énervement ? Une mise en garde avant une réponse plus offensive ?

« - Bonjour, je me nomme Frédéric » dit-il en avançant d’un pas supplémentaire et tendant la main vers l’alien.

Le chozo poussa alors un cri strident en ouvrant en grand son bec ; ce qui fit sursauter Frédéric. Quelques secondes passèrent sans plus aucune manifestation.

« - Êtes-vous l’un des gardiens ? » se hasarda à nouveau Frédéric.

Mais l’être aviaire ne réagit pas à sa nouvelle prise de parole. Ce n’était pas possible. Cet être membre d’une race alien à la technologie aussi avancée n’était-il pas capable de manifestations autrement plus élaborée pour dialoguer ? Comment Frédéric allait-il faire pour savoir s’il était dans une dimension parallèle ou dans le futur ?

Ce questionnement devrait être remis à plus tard. Le chozo poussa soudainement un cri perçant, tel celui d’un rapace, tout en tournant la tête vers sa droite. Un jet de flammes lui arriva soudainement dessus. Mais le chozo esquiva en exécutant un bond particulièrement aérien. A le voir bondir vers les restes du balcon du second étage, l’alien semblait aussi léger qu’une plume. Après l’avoir observé s’envoler, Frédéric tourna la tête dans la direction du jet de flammes. Quelle ne fut pas sa surprise de voir apparaître une petite horde de démons. Une demi-douzaine d’entre eux la composait. Ils étaient tous d’une physionomie patibulaire mais sans caractéristiques extraordinaires pour des démons. Nez difforme, canines ressortant de leur gueule telles des défenses. Des yeux vicieux, des cornes bovines et des pieds et mains griffus. Néanmoins deux choses dénotaient dans cet attroupement. Tous semblaient avoir enduré diverses épreuves et conflits à la vue des diverses stigmates que portaient leurs corps. La seconde était l’espèce d’étendard que portait fièrement l’un d’eux. Il s’agissait d’une paire d’ailes clouées sur une croix de bois rudimentaire. D’ordinaire, Frédéric n’aurait pas redouté un affrontement face à un nombre si faible de démons de bas étage. Mais dans son état de santé actuel, n’importe quel affrontement pourrait lui coûter cher.

« - On l’a retrouvé ! Finissons-en ! » fit l’un des démons.

« - Et l’humain ? »

« - Qu’est-ce que tu veux qu’un vulgaire primate nous fasse ? » gloussa un autre.

Manifestement, les démons en avaient après le chozo. Mais celui-ci était peut-être le seul à pouvoir lui dire s’il était dans le futur ou dans une dimension parallèle.

« - S’en prendre à lui, c’est s’en prendre à moi ! » déclara alors Frédéric.

Les démons s’immobilisèrent un instant avant de hurler de rire.

« - Ça tombe bien, il me faut un nouveau pagne, ta peau me sera utile ! » déclara l’un des démons en avançant, menaçant, vers Frédéric.

« - Aarkrinas également a cru pouvoir me tuer ! » répliqua Frédéric.

Les démons s’immobilisèrent à nouveau. Ils semblaient reconnaître ce nom. Et c’est bien ce sur quoi comptait Frédéric. D’après ses vantardises, Aarkrinas n’était pas un démon de dernier ordre. Il ne faisait pas partie de la fange. En réclamant son meurtre, peut-être allait-il pouvoir intimider les démons présents et éviter un combat supplémentaire. Ces derniers se mirent à chuchoter mais Frédéric ne saisissait pas la teneur de leurs propos.

« - C’est qui celui-là ? » finit par dire celui qui s’était avancé.

..oO( Merde ! Ils ne le connaissent pas !) se dit Frédéric.

« - Il s’agit ... s’agissait du Maître invocateur de la 5436ème légion infernale ! »

Les démons se turent un instant avant de se remettre à rire.

« - Un maître invocateur ? Ces étrons qui ne savent pas se battre et qui sont tout juste bons aux rituels sataniques ? Ha ! Quelle bonne blague ! »

« - Nous faisons partie de la 13.489ème horde ! Nous, on patauge dans la fange et le sang ! » déclara avec fierté un autre démon.

« - Voyons voir comment tu te démerdes face à un vrai démon ! » ajouta le leader tout en embrasant ses yeux et ses mains et en avançant vers Frédéric.

Avant même d’arriver jusqu’à lui, le démon tira un jet de flammes droit sur Frédéric. Celui-ci n’esquiva pas l’attaque et l’encaissa sans broncher. Une fois ses flammes dissipées, le démon eut la stupéfaction de voir Frédéric encore debout.

« - Occupez-vous du piaf ! Je m’occupe de celui-ci » fit le démon en souriant.

« - Tu vas peut-être t’avérer amusant, finalement ... même si ça ne va pas être bien long ».

« - Ne te fie pas à mes blessures ! » répliqua Frédéric.

Le démon sourit encore un peu plus et, tandis que ses congénères tiraient des flammes sur le chozo, il bondit sur Frédéric. Tous deux s’empoignèrent. Mains contre mains, doigts entrecroisés, le démon débuta un rapport de force tandis que ses mains étaient toujours enflammées. La chaleur des flammes du démon n’incommodait pas Frédéric, c’était plutôt sa force physique. En temps normal, sous sa forme humaine, il n’aurait pas pu faire le poids bien longtemps. Mais actuellement, encore grandement affaibli par ses blessures, c’était pire. Il pliait sous la puissance du démon qui éructait de joie.
Il ne voulait pas en arriver là, mais il n’avait maintenant plus le choix. Le démon ne lui permettrait pas de se dégager. Il se métamorphosa alors en lycanthrope et l’équilibre des force bascula du tout au tout. En un instant, le démon fut le dominé dans ce rapport de force brute.
Bien que surpris, le démon intensifia ses flammes ce qui sembla accroître sa puissance. De son côté, la métamorphose en lycanthrope avait été extrêmement douloureuse pour Frédéric. Lors de sa métamorphose, nombre de ses blessures, non encore parfaitement régénérées se rouvrirent. Sa vue devint brouillée par le sang qui coulait de son crâne. La douleur qu’il endurait l’affaiblissait petit à petit et, petit à petit, le démon reprenait le dessus. Soudain, le démon dégagea ses mains de celles de Frédéric et enserra ce dernier entre ses puissants bras.

Sentant ses os craquer, Frédéric savait qu’il devait se libérer à tout prix. Il mordit alors le démon dans le cou avec toute la force dont il disposait. Le démon hurla et finit par le lâcher. Immédiatement, Frédéric lui asséna un puissant coup de pied au ventre pour le faire reculer. Lui-même fit plusieurs bonds en arrière pour s’éloigner du démon. Son dos rencontra quelque chose de solide. Il tourna légèrement la tête et vit qu’il s’était retrouvé dos à dos avec le chozo.

..oO( On va devoir bosser ensemble, p’tit gars !) pensa Frédéric, reconnaissant qu’ils étaient dans une position délicate.

Soudain la situation empira. Le chozo se retourna vers Frédéric et lui planta ses serres dans le dos. Frédéric hurla de douleur. Le chozo ne comprenait-il pas qu’ils devaient s’entraider ?
Le corps arcbouté en arrière sous le coup du chozo, Frédéric tourna péniblement la tête vers lui et vit, malgré le sang qui lui coulait dans les yeux, quelque chose d’effroyable. Les mains du chozo perdaient toute consistance. Petit à petit, ses membres ressemblèrent à une sorte de boue jaune ... la même matière dont était constitué le parasite qui l’avait attaqué à son arrivée ici. Dans sa situation, Frédéric ne put comprendre que le chozo n’était pas ce qu’il semblait être. Ce n’était rien de plus qu’un parasite qui avait consumé le chozo original et qui en avait pris l’apparence.
Accusant le coup et réagissant plus lentement qu’à son habitude, Frédéric s’enflamma et brûla le chozo qui retira de suite ses serres de son dos. Il s’était certes dégagé mais il se retrouvait dans une situation critique. Vu son état de faiblesse extrême, il se demandait comment il allait pouvoir fuir ce combat. Soudain la réponse surgit de nulle part. Une déchirure spatiale s’ouvrit juste face à lui. Tous s’immobilisèrent. De ce que Frédéric pouvait distinguer à travers la déchirure, il en conclut qu’elle donnait sur la Janus 24 originale et le grand hall intact du temple chozo et non cette version pervertie où il risquait de mourir d’un moment à l’autre. Ni une, ni deux, il regroupa ses forces et plongea désespérément à travers la déchirure. Il s’étala sur le sol poussiéreux du grand hall de Janus 24. L’instant d’après, il entendit un bruit sourd, comme quelque chose de lourd atterrissant sur le sol derrière lui.
Il se retourna avec peine et vit la déchirure spatiale se résorber. Derrière lui se trouvait le démon qui s’en était pris à lui.

« - Je te l’avais dit que ça ne durerait pas longtemps ! » fit le démon en avançant sur lui.

« - Je n’aurai pas su mieux dire ! »

L’instant d’après de multiples pics de glace empalaient le démon sous de multiples angles. La créature fut morte avant d’avoir heurté le sol. Frédéric regarda dans la direction de la voix et reconnut avec soulagement la silhouette de Jeremiah avant de tomber dans les vapes.
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A suivre dans le chapitre 344 - Compte à rebours, part 2 : le Départ
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Chapitre 343 - Compte à rebours, part 1 : Mort à l'arrivée :: Commentaires

Je m'attendais à un coup fourré avec ces bombes. Le Mastercorps a décidément employé tous les moyens possibles.

J'ai bien aimé comment Frédéric s'est fait foutre de lui lorsqu'il a parlé d'Aarkinas XD Il a encore eu de la chance, ceci dit.
 

Chapitre 343 - Compte à rebours, part 1 : Mort à l'arrivée

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