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 Chapitre 360 - Résurgence

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Jezekiel
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Jezekiel


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20082017
MessageChapitre 360 - Résurgence

Terre 864

Après le contact avec Michelle, ils avaient enfin une piste : les Catacombes de Paris. Même si la manière dont il l’avait obtenue était plus qu’étrange, Frédéric s’y attacha. Il était convaincu que c’était un élément clef pour recouvrir tous ses souvenirs. Accompagné de Milla, il retourna au New Orleans International Airport et prit un vol direct pour Paris.

« - J’aimerais qu’on reparle de ce qui s’est passé » dit alors Milla tandis que l’avion survolait l’Atlantique.

« - Je n’arrive pas à comprendre ce qu’il s’est passé entre toi et Karl ... vous vous connaissiez déjà ? »

« - C’est ... compliqué. Des souvenirs me sont revenus ... même si avec du recul, je doute que ce soit vraiment des souvenirs ».

« - Dis toujours ! »

« - Je me suis souvenu l’avoir déjà rencontré à plusieurs reprises ... à chaque fois avec un rôle différent ... Régent tyrannique, prisonnier torturé ... et même travesti en femme ».

« - Karl ? Déguisé en femme ? » Milla se mit à rire.

Frédéric se mit à sourire mais son humeur redevint sombre.

« - Quoi qu’il en soit, ces ... visions, sont aussi réelles pour moi que des souvenirs. J’étais peut-être fou avant de perdre la mémoire. Un schizophrène, ou un psychopathe quelconque ».

« - Mais non ! Tu es parfaitement équilibré pour quelqu’un dans ta situation ... et puis les fous ne se rendent pas compte qu’ils le sont » lui répondit Milla en lui donnant un petit coup de coude complice.

« - Existe-t-il une cité, à taille d’une mégalopole, avec des buildings, isolée au plein milieu d’un désert ? » demanda soudainement Frédéric.

« - Hmm ... Il y a bien Abu Dhabi ... ou le Qatar » fit Milla en réfléchissant à la question.

« - Ces villes sont au bord de l’océan. Moi, je me souviens d’une ville perdue au milieu du désert ».

« - Non, je ne vois pas » fit Milla.

« - Pourtant elle me semble aussi réelle que le souvenir de Karl en tyran ».

Milla observa Frédéric un instant.

« - Ne penses plus à tout ça. Une fois à Paris tout va s’éclaircir, j’en suis sûre » lui dit-elle.

« - J’espère aussi ».

Mais même si ses paroles étaient sincères, Milla ne pouvait s’empêcher de se poser des questions sur lui. Et s’il était vraiment fou ? Et pourquoi est-ce que ce devait être les catacombes de Paris qui devaient lui rendre la mémoire ? Ce n’était pas commun, non plus. Une chose était sûre, elle devait rester sur ses gardes mais sans le lui montrer, tout en restant naturelle avec lui.
Le reste du vol fut entrecoupé de discussions sur des sujets divers et variés jusqu’à ce qu’ils atterrissent à Orly Sud. Il était alors près de quatre heure du matin mais l’aéroport n’était pas aussi désert que celui de Marseille-Provence à la même heure la veille.

A l’extérieur, étaient présents divers véhicules. Certains s’affichaient clairement comme des taxis, quant aux autres, ce n’était que des voitures banalisées, des Uber.

« - On prend quel véhicule ? » demanda Frédéric.

« - Un taxi ! Fais-moi confiance, on prend un taxi ! » répondit immédiatement Milla.

Tous deux prirent place à l’arrière du premier taxi venu. Lorsque le chauffeur leur demanda leur destination, ce fut Frédéric qui répondit Denfert-Rochereau.
La voiture démarra sans attendre et quitta l’aéroport. Ils laissèrent rapidement sur leur droite un gigantesque panneau affichant "Cœur d’Orly". La voiture s’inséra sans difficultés sur l’Avenue de Paris, une voie rapide à trois voies. A l’arrière, Frédéric observait pensivement le décor qui défilait et qui le rapprochait d’un dénouement certain.

Ils passèrent sous un premier pont tagué de façon lamentable, sans aucune âme d’artiste, pensa-t-il. Un second suivit rapidement qui était encore immaculé ... pour le moment. Après être passé deux fois sous un pont, ils empruntaient maintenant un pont au-dessus d’une voie ferrée avant de rejoindre une deux voies quelque peu verdoyante. Milla vit un important hôtel Novotel sur la gauche.

« - On pourra peut-être venir y passer la nuit après » fit-elle.

« - Je doute que j’aurai l’esprit assez tranquille pour dormir » répondit-il de façon détachée.

« - Qui a parlé de dormir ? » répliqua-t-elle avec malice.

Frédéric esquissa un sourire et prit la main de Milla dans la sienne. Milla vit qu’il était préoccupé par ce qu’ils allaient découvrir dans quelques minutes. Elle n’insista pas.

Tandis qu’ils passaient sous une passerelle imposante intitulée "Pondorly" [1] Frédéric se posait des questions. Qu’allait-il bien découvrir dans les catacombes ? Qu’est-ce qu’un lieu aussi macabre avait à lui offrir ?
Le taxi passa sous deux autres ponts avant de prendre une bretelle sur la droite et gagner l’Autoroute du Soleil. Les yeux perdus dans le vague, il vit les premiers immeubles apparaître. Le taxi prit à nouveau à droite, direction Paris-Centre. La végétation réapparut alors, plus florissante qu’auparavant ... le temps d’un instant avant de rejoindre à nouveau l’Autoroute du Soleil.

Une palissade apparut alors. Une palissade contre les décibels de l’autoroute. La palissade était taguée honteusement, jusqu’à plus soif, criblée de tag plus médiocres les uns que les autres. Dans ses réflexions, la palissade lui apparut comme une fresque, une frise chronologique continue ... ce qu’il n’avait plus depuis trois jours au bas mot. Comment allait-il réagir s’il regagnait soudainement ses souvenirs ? Il serra la main de Milla plus fort. Il espérait sincèrement ne pas être un aliéné. Et si ce n’était pas le cas, reprendrait-il son ancienne personnalité ? Celle qu’il s’était forgée depuis quelques jours allait-elle être purement et simplement effacée, écrasée par sa personnalité native ? Milla n’allait-elle plus compter pour lui ? Allait-il soudainement éprouver à nouveau des sentiments pour cette Sandora dont il se souvenait à peine ?

C’est alors qu’ils arrivèrent à une sorte d’échangeur routier divisant la route en deux tunnels. Frédéric sortit de ses pensées en voyant la fresque sur la façade de l’entrée du tunnel. [2] Elle était entièrement taguée mais d’une agréable façon cette fois. C’était un véritable artiste qui avait été à l’œuvre. Il eut à peine le temps de l’admirer que le taxi s’engouffra dans le tunnel de gauche. L’intérieur contrastait excessivement. Il était lugubre au possible, tagué à nouveau de graffitis sans intérêt baignés par la lumière orange des néons fatigués. A peine quelques secondes plus tard, ils surgirent du tunnel en plein centre-ville, comme transporté sur un autre monde. Des tours et immeubles se dressaient de toutes parts. Ils s’arrêtèrent à ce qui leur semblât être le premier feu tricolore depuis leur départ.

Frédéric replongea dans ses réflexions. Qui avait-il bien pu être ? Qui était capable de tuer aussi facilement et semblait connaître les armes sur le bout des doigts ? Il avait déjà entraperçu qu’il avait connu un passé violent ... mais jusqu’à quel point ? Il se rappela alors ce que Milla lui avait dit dans le parking de Monaco. Il n’y avait ni blanc, ni noir, que des nuances de gris. Et ce qui comptait vraiment c’était à quel but il employait une telle violence.

Le taxi redémarra et prit à droite sur l’Avenue de la porte d’Orléans. Ils ne tardèrent pas à déboucher sur un gigantesque carrefour ... désert à cette heure de la nuit. Le chauffeur continua sur sa lancée et prit droit sur l’Avenue du Général Leclerc. D’un coup, les bâtiments semblèrent se rapprocher, presque de façon oppressante, principalement des boutiques aux néons tentant de repousser l’obscurité de la nuit.

Sur la banquette arrière, Milla aussi était en proie aux doutes. Outre la nature de ce qu’ils allaient bien pouvoir trouver dans des catacombes, Milla se demandait surtout si Frédéric allait changer en regagnant sa mémoire. Non, à vrai dire, il était certain qu’il allait changer. Il allait retrouver sa personnalité d’antan ... mais à quel point cela allait-il le changer ?

Le taxi ralentit en arrivant en vue d’un square verdoyant. Il prit la rue sur la droite juste avant le square et s’arrêta sur le couloir bus. [3] Ils étaient arrivés à destination. Frédéric et Milla descendirent du véhicule. Milla paya le chauffeur qui ne tarda pas. Quant à Frédéric, il semblait parfaitement savoir où ils se trouvaient. Leur destination se trouvait sur le côté du square, après le bâtiment blanc, au niveau d’une entrée en forme de petite cabane ; le pavillon numéro 3 des catacombes, la barrière d’enfer.

Arrivé face au pavillon, Frédéric hésita un instant, comme figé sur place. C’est alors qu’une sirène déchira la quiétude du petit matin. Elle s’approchait à grande vitesse d’eux. Frédéric la reconnut immédiatement, c’était une sirène d’un camion de pompier. Il se retourna pour voir le camion passer avec à son bords une escouade de pompiers. Il écarquilla des yeux en croyant en reconnaître certains. C’est alors qu’un souvenir, non, une bribe de souvenir lui revint. Il se revoyait, en tenue de pompier, en train de s’engouffrer dans les catacombes alors qu’une épaisse fumée en sortait. Frédéric se retourna vers le pavillon et enfonça la porte d’un grand coup de pied.

D’un pas décidé il dévala les 130 et quelques marches menant à près de 20 mètres sous terre. Rapidement, le couple accéda à l’atelier, restes visibles d’une carrière. N’étant pas là pour le tourisme, Frédéric continua sans s’arrêter, comme s’il savait exactement où il allait. Continuant, il arriva à une pente accentuée faisant office de communication entre les catacombes haute et basse. Ils arrivèrent alors jusqu’à l’entrée de l’ossuaire. Les murs de roche laissèrent dès lors la place à des hagues faites de fémurs et de crânes humains disposés régulièrement, presque de façon décorative. Laissant sur leur droite le parcours touristique, Frédéric prit à gauche, droit vers le Tonneau, un pilier de soutènement enflé à mi-hauteur mais surtout décoré là encore d’ossements humains.

« - Eh bien ! Y en a qui se sont bien amusés ! » fit Milla, nullement impressionnée par ces amoncellements de squelettes.

Mais Frédéric ne répondit rien, absorbé qu’il était par sa destination. Arrivé en bout de chemin touristique, il enfonça une porte métallique menant à une section encore inexplorée et inaccessible au public. Après des couloirs sinueux, ils arrivèrent à une vaste pièce faisant presque penser à une chambre avec sa table circulaire en pierre.

Milla, qui observait les réactions de Frédéric, le vit changer de comportement. Manifestement quelque chose le perturbait. Elle resta vigilante. Frédéric avait les yeux grands ouverts et jetait de vifs coups d’œil dans tous les sens. Sa sudation augmenta brutalement. Il sentait que quelque chose remontait à la surface de son esprit, quelque chose de puissant, de chaud, qui lui faisait penser à une éruption imminente. Soudain son cœur fut comme comprimé. Il se retourna vivement vers l’entrée de la pièce, là où se trouvait Milla. Mais ce n’était pas elle qu’il regardait, ce n’était pas elle qu’il voyait. Ce qu’il voyait c’était un homme en train d’être égorgé par une ombre derrière lui.

« - ÉRIC !! » cria soudainement Frédéric, ce qui fit sursauter Milla.

Frédéric se retourna vers le fond de la pièce et vit le corps d’un inconnu éventré et affalé contre le mur. Il fit à nouveau volte-face et observa cette fois la table. Il se vit lui-même attaché sur cette table en pierre par ce qui semblait être des chaînes d’énergie. Autour de lui s’agitaient de multiples silhouettes nappées d’obscurité. Au moment même où la projection de son soi passé se mit à hurler de douleur sous l’effet du liquide bouillant que ces créatures lui versaient, Frédéric se mit à hurler conjointement. Instinctivement et sans qu’il ne s’en rende compte, il se métamorphosa en lycanthrope.

Milla fit de même en le voyant faire. Elle ne comprenait pas ce qu’il lui prenait. Devenait-il fou ? Soudain, Frédéric s’immobilisa. Il tourna son visage canin vers elle. Semblant lutter de toutes ses forces, il s’adressa à elle.

« - FUIS !!! »

Milla ne se le fit pas dire deux fois. Galopant à quatre pattes dans les couloirs des catacombes, elle entendit soudain une puissante explosion. La seconde qui suivit, ce fut une puissante vague de chaleur qui la rattrapa. Elle accéléra encore sa course effrénée. Arrivée à l’escalier, elle le monta quatre à quatre jusqu’à parvenir à l’air libre. Instinctivement, elle se jeta sur le côté pile au moment où une langue de feu surgissait du pavillon à ses trousses. Quelque peu hébétée, Milla se releva. La langue de feu s’était rétractée dans le sous-terrain. Néanmoins quelque chose clochait. La nuit était étrangement lumineuse. Elle leva les yeux au ciel et vit une puissante colonne de feu monter vers la pleine lune.

« - FRÉDÉRIC !! » s’écria-t-elle.

Craignant pour lui, elle s’engouffra à nouveau dans les catacombes à toute vitesse. Arrivée dans la chambre de pierre, ce qu’elle vit la stupéfia. Sous sa forme de lycanthrope, Frédéric était littéralement embrasé ... mais ne semblait pas en souffrir. Du moins pas des flammes qui émanaient de son corps.

Frédéric était tourmenté par les souvenirs qui lui revenaient tous en masse tel un ras de marée. Il se souvenait des démons, de Thibault et Zilimah, la deinone qui était venue le chercher pour combattre Moloch. Il se souvenait de la Cité Miroir faite de cristal. Du démon Nialgrim qui les a amenés, lui et deux autres personnes, sur d’autres planètes, d’autres Terre, des Terre parallèles. Il reconnut de suite l’un de ses deux compagnons dont il s’était déjà souvenu, le vampire Jeremiah. L’autre c’était ... Miles, un homme servant d’hôte à un démon ... mais pas seulement. Non, chacun d’entre eux, chacun de ses trois compagnons ... Wade était le troisième, incarnation de la Mort ... chacun hébergeait une créature néfaste et malfaisante en leur sein. Une créature chevauchant la fin du monde, un Cavalier de l’Apocalypse. Les flammes qui l’entouraient prirent une teinte aussi noire que la nuit.

Milla fut stupéfaite de voir ces flammes noires, cette obscurité qu’elle avait vu l’entourer.

Les souvenirs revenaient sans cesse dans l’esprit de Frédéric. Il se souvint de Wachttoren, la cité dirigée d’une main de fer par un autre Karl N’Douarti. Mais il n’eut pas le temps de se dire qu’il n’était donc finalement pas fou que d’autres souvenirs lui revinrent. Le souvenir de César, de Barbatos, d’un monde entièrement synthétique sur lequel les humains luttaient contre une intelligence artificielle toute puissante, le Control Hive. Puis ce fut le souvenir d’un monde blanc de glace, d’une créature glaciaire titanesque. De la végétation revenant comme par magie une fois ce monstre mort. Il bondit alors vers un autre monde, encore plus verdoyant. Il se vit dialoguer avec des créatures semblables à des arbres, les Eert. Il se vit combattre des nazis, être un gladiateur dans une arène pour le plaisir de machines déviantes. Il se revit enfermé dans une pyramide confronté à une momie immobile. En train de combattre des hommes bêtes, des faunanthropes dans une cité tenue par un autre tyran du nom de Lyon. D’une cité à ciel ouvert, il passa à une cité sous les océans puis à un vaisseau spatial ... ou plutôt des vaisseaux spatiaux qui l’amenèrent jusqu’au temple d’une planète reculée. Un temple dans lequel il fut imprégné du savoir d’une antique civilisation, les Chozos. Ce savoir lui avait inondé, saturé l’esprit comme une lumière vive. Il avait reçu trop de connaissances d’un coup jusqu’à ce qu’une action extérieure ne l’empêche de tout perdre définitivement. Soudain, ses flammes noires devinrent plus lumineuses jusqu’à devenir entièrement blanches l’espace d’un clin d’œil avant de se dissiper.

Ses flammes éteintes, Frédéric tomba à genoux, comme éreinté. Milla accourut près de lui.

« - Je ... Je me souviens de tout ! Jeremiah, Miles, Wade, Isaac, Sandora, Westwood, Gontran, Connors, Io, Humfroy, Yggdrasil, Kunz, Élaphe, Jacinto, Samus ... mais aussi Elizabeth, Setum, le Mastercorps ... Le Mastercorps ! Sandora et Westwood y sont piégés ! » fit-il en se relevant péniblement.

Milla l’aida à se redresser.

« - Milla ... » fit-il en souriant, avant de remettre un genou à terre, épuisé.

« - Je ne suis pas fou » ajouta-t-il.

« - Je n’en ai jamais douté » lui répondit-elle.

« - Ça, c’est ce qu’on va voir ! » dit une troisième voix.
_____________

[1] : Illustration 1 - Passerelle Pondorly
Chapitre 360 - Résurgence Babel_15
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[2] : Illustraton 2 - Fresque
Chapitre 360 - Résurgence Babel_16
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[3] : Illustration 3 - Denfert-Rochereau
Chapitre 360 - Résurgence Babel_17
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A suivre dans le chapitre 361 - Chassez le naturel ...

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Chapitre 360 - Résurgence :: Commentaires

Shion
Re: Chapitre 360 - Résurgence
Message Lun 21 Aoû - 21:47 par Shion
Et bien, j'ai l'impression que tu as bien bossé ton sujet pour ce qui est du trajet en taxi ^^

Belle mise en scène pour la récupération des souvenirs. Je me serais cru devant Smile
Jezekiel
Re: Chapitre 360 - Résurgence
Message Lun 21 Aoû - 22:02 par Jezekiel
Shion a écrit:
Et bien, j'ai l'impression que tu as bien bossé ton sujet pour ce qui est du trajet en taxi ^^

Oh que oui, j'ai fais du Google Map en Street View pour le trajet ... j'ai un "peu" galéré ^^'
Re: Chapitre 360 - Résurgence
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Chapitre 360 - Résurgence

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