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 Chapitre 245 - Sous le signe du rat

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Jezekiel
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Jezekiel


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Localisation : Poitiers, Vienne, France

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05042015
MessageChapitre 245 - Sous le signe du rat

Terre 539 – Royaume d’Espagne - Madrid - Lieu tenu secret

Avant de regagner leur Q.G. chaque assassin procédait à des manœuvres pour déterminer s’ils étaient suivis ou non. De plus ils avaient choisi une zone industrielle laissée à l’abandon. Plus personne ne s’y rendait plus depuis longtemps. Il n’y avait aucune caméra de sécurité dans le quartier et l’électricité y avait même été coupée. Le Q.G. s’alimentait grâce à de puissants groupes électrogènes afin de rester le plus discret possible. Malgré toutes ces précautions, le Q.G. était maintenant assailli par les forces commandos d’Abstergo.
A l’alerte de son frère, Jacinto Cervera avait ordonné l’évacuation. Aux yeux du néophyte, cela aurait pu sembler être un formidable chaos, mais en réalité chacun savait parfaitement quoi faire en de pareilles circonstances. Manifestement ce n’était pas la première fois qu’ils se faisaient débusquer.

« - Pourquoi ne pas les affronter au lieu de se barrer ? Finissez-en une bonne fois pour toutes ! » déclara alors Desmond.

« - Nous ne pouvons nous le permettre ! Nous avons plusieurs jeunes recrues qui n’ont pas achevé leur formation et qui périraient au combat face aux commandos d’Abstergo » répondit Jacinto.

« - A fuir la queue entre les jambes, c’est sûr que vous n’arriverez jamais à leur faire la peau » rétorqua Desmond.

« - Le combat contre Abstergo, les Templiers, est un combat qui dure depuis des siècles. Il ne se gagnera pas en un seul combat ».

« - Et puis j’imagine qu’ils ont de la chair à canon à revendre » intervint Frédéric.

« - C’est tout à fait cela ! »

« - Donnez-nous des armes, nous allons vous aider à couvrir la fuite de vos recrues » demanda Frédéric.

Durant près d’une heure les forces d’Abstergo furent tenues en respect par le groupe de Frédéric et une poignée d’assassins dont Jacinto et Pablo. Une fois le matériel primordial et les recrues partis, les forces qui couvraient leurs arrières se dispersèrent à travers le réseau d’eaux usées qui couraient sous l’entrepôt et toute la zone industrielle. Cela ne plut pas particulièrement à Desmond qui avait l’impression de fuir tel un rat. Grâce à la vigilance de Frédéric et Jeremiah, aucun assassin ne périt durant l’affrontement. Une fois de plus, ils faisaient preuve de facultés hors normes au combat, ce que Jacinto n’avait pas manqué de remarquer. Ce n’est qu’une heure plus tard qu’ils sortirent à l’air libre pour s’engouffrer immédiatement dans un van qui les attendait. A peine le dernier d’entre eux entra-t-il dans le véhicule que ce dernier démarra en faisant crisser ses pneus. A nouveau le groupe se retrouvait conduit par Rebecca.

« - Contente de vous revoir les gars ! » fit-elle en souriant malgré sa concentration sur la route.

La jeune femme sortit de la zone industrielle et prit les grandes routes avant de prendre une autoroute.

« - Où allons-nous ? » demanda Frédéric.

« - Au sud ! Nos frères sont parvenus à déterminer que la région intéressait tout particulièrement Abstergo » répondit Jacinto.

« - Comment ont-ils appris cela ? » demanda Jeremiah.

« - Nous ne faisons pas qu’assassiner des gens, nous comptons de talentueux espions parmi nos rangs également ».

« - Pas si talentueux que ça ! M’étonnerait pas qu’ils soient la cause de cette attaque » répliqua Desmond.

« - Ce n’est pas une possibilité à exclure effectivement » répondit Jacinto, pensif.

Ce ne fut que vers 19h qu’ils arrivèrent à Séville alors que le ciel prenait des teintes orangées. Le trajet s’était déroulé sans encombres et les assassins avaient pris le parti de se reposer à l’arrière du van, histoire de récupérer un peu. Desmond et Cochran s’étaient carrément assoupis tandis que Frédéric, Jeremiah, Wade et Isaac avaient observé, pensifs, les paysages qui défilaient de l’autre côté de la vitre. Arrivés au centre-ville, Rebecca prit plusieurs ruelles avant de s’engouffrer dans l’entrepôt d’une fabrique de jouets. L’usine, encore en activité, appartenait à l’un de leurs discrets sympathisants qui mettait à leur disposition toute une partie de son local. C’était également le Q.G. de l’annexe de la Confrérie en cette ville. Dans le groupe de Frédéric, tous furent surpris par celui qui les accueillit. Leader de cette annexe, il se faisait appeler Julien Lemeunier. C’était un expatrié français mais ce ne fut pas ce qui les étonna le plus, ce fut plutôt son physique. L’assassin était plutôt râblé, il portait une barbe hirsute tandis qu’il avait les cheveux très courts, presque rasés, sûrement pour masquer sa calvitie naissante. Bien que de petite taille, ses vêtements masquaient difficilement ses biceps saillants.

« - Oh la vache ! Mais c’est Gimli ! » s’esclaffa Desmond.

Tous le regardèrent avec étonnement.

« - Quoi ? J’ai pas le droit de connaître le Seigneur des Anneaux ? » fit-il en retour.

Mais personne, pas même Lemeunier, ne prit ombrage de sa comparaison. Au contraire, l’assassin semblait être un bon vivant et franchement rigolard. Les présentations faites, Jacinto demanda à Julien ce que ses hommes avaient découvert sur les manigances d’Abstergo.

« - Sais-tu qui est Anselmo Aznar ? » lui demanda Julien.

« - Moi oui, mais mes amis sûrement pas » répondit Jacinto.

« - Certes ! Anselmo Aznar est le bibliothécaire de la bibliothèque de Séville mais également l’un des historiens occultes les plus éminents des templiers. D’ordinaire, un émissaire des templiers ne lui rend visite qu’une fois par semestre. Parfois c’est une visite par trimestre mais la sérénité du vieil homme n’est rarement troublée plus fréquemment. Ces derniers mois, un émissaire vient le voir une fois par semaine, ce fut le cas encore aujourd’hui. Il est sûr et certain que ces enfants de putain sont sur une bonne piste, quelle qu’elle soit ».

« - Pourquoi avoir attendu tout ce temps ? Allons lui rendre visite de suite ! » s’esclaffa Pablo.

« - T’es du genre à enfiler tes sabots avant tes chaussettes, toi, je me trompe ? » répliqua Julien.

Tous sourirent à cette réplique avant que Julien ne reprenne.

« - La bibliothèque n’a l’air de rien mais elle est discrètement, et lourdement, surveillée de jour comme de nuit. Toutefois, les gardes se relâchent le jour. ils ne pensent pas qu’on aura le toupet d’attaquer de jour ».

« - Profitons-en alors ? La bibliothèque ferme à quelle heure au public ? » demanda Pablo.

« - Elle ferme à 21h en ce moment » répondit pensivement Julien.

Tout en lui répondant, l’assassin réfléchissait si cela était envisageable. L’arrivée de renforts suffirait pour une telle attaque, surtout qu’Abstergo ne devait pas encore savoir qu’ils étaient là.

« - Et les pertes civiles ? » demanda Frédéric.

« - Quelques fumigènes et tous les visiteurs fuiront la bibliothèque en quatrième vitesse » répondit Pablo.

« - Et ainsi, au lieu de bénéficier de l’effet de surprise, on annoncera notre venue avant même de passer à l’attaque » intervint alors Jacinto.

« - Eh bien, on n’a qu’à s’infiltrer dans la bibliothèque en tenue civile, il ne doit pas y avoir tant de civils que ça à cette heure ».

« - Lorsqu’il y a des civils en jeu, on ne peut jamais savoir ce qui va se passer. Impossible dès lors d’affirmer qu’il n’y aura aucune perte » rétorqua Frédéric.

« - Pour toi peut-être ! Moi, je suis sûr de pouvoir y arriver ! » répliqua Pablo.

« - Ouais, comme tu étais sûr de pouvoir me faire mordre la poussière tout à l’heure ? »

« - Ha ! Ha ! Ha ! Le blaireau que tu fais quand même ! » lança Julien.

Tourné en ridicule, Pablo se retira pour aller ruminer dans un coin. Une fois le perturbateur parti, la discussion reprit.

« - Même si ton homme est un idiot, il n’a pas tort sur un point. Mieux vaut attaquer rapidement tant que personne ne sait que vous êtes en ville. Je propose que l’on attaque à minuit. on sera sûr qu’il n’y aura personne d’autre que des templiers et là on pourra frapper en toute quiétude ».

Tous furent d’accord sur la marche à suivre. Les hommes de Lemeunier ayant repéré les agents d’Abstergo qui surveillaient la bibliothèque, les assassins se dispersèrent sur les toits alentours à la rencontre de leurs cibles et les neutralisèrent en simultané sans qu’aucun d’entre eux ne puisse avertir leurs petits camarades. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, plus aucun templier ne surveillait la bibliothèque à partir de hauteurs stratégiques. Hormis Cochran et Isaac, qui étaient sensés être restés au Q.G., le groupe de Frédéric participa à l’assaut. Que ce soit Frédéric, Jeremiah, Wade ou Desmond, chacun élimina un templier avec rapidité et discrétion. Ne restaient plus que les gardes en contrebas, dans la rue, tapis dans leurs véhicules et qui surveillaient l’accès au sol. Ces derniers étaient disposés stratégiquement à chaque angle de rue si bien que personne ne pouvait arriver à pied ou en voiture sans qu’ils ne le sachent. Ignorant tout de ce qui s’était passé au-dessus de leurs têtes, personne ne jugea utile d’aller les neutraliser également ... surtout que le plan d’attaque ne prévoyait pas d’entrer dans la bibliothèque par la grande porte. Tous se réunirent alors sur le toit du bâtiment qui était le plus proche, en terme de hauteur, du toit de la bibliothèque ... ou plutôt de l’ancienne cathédrale transformée en bibliothèque. Un assassin subalterne leur apporta alors un grand sac de sport avant de s’éclipser aussi vite qu’il était venu. Il en était de même de toutes les recrues qui avaient participé à éliminer toutes menaces des toits. Ne restaient sur les lieux plus que Frédéric, Jeremiah, Wade, Desmond, Jacinto, Pablo et Julien.
Ce dernier sortit alors du sac une imposante arbalète qu’il déploya. Il fixa à la cheminée du bâtiment sur le toit duquel ils se trouvaient un solide harpon avant d’en tirer un autre sur le clocher de la cathédrale. L’arbalète présentait un système à air comprimé et le seul bruit que le groupe perçut fut celui du harpon se fixant dans la pierre. Le son ne fut pas assez puissant pour que quiconque l’entende dans la rue, même en pleine nuit. Tandis que Julien tendait le câble, Jacinto sortait du sac des mousquetons auxquels étaient fixées des poignées. A peine Julien eut-il assuré que le câble était bien tendu que Jacinto y accrocha son mousqueton et se jeta dans le vide. Il traversa la distance en tyrolienne et atterrit sur le toit de la cathédrale sans un bruit, tel un chat. Un à un, tous le suivirent. Toutefois, tous connurent une petite montée d’adrénaline lorsque Desmond posa le pied sur le toit en faisant un peu trop de bruit. Ils cessèrent tout mouvement durant quelques secondes afin de savoir si leur présence avait été trahie. N’entendant personne s’agiter, ils en déduisirent que ce n’était pas le cas. La cathédrale était si grande, qu’elle présentait une sorte de petit balcon sur tout le périmètre de son toit et reliait les quatre clochers auxiliaires. Les sept hommes se séparèrent en quatre groupes. Jacinto fut le seul à faire bande à part. Pablo fut accompagné de Julien, Jeremiah avec Desmond et Frédéric avec Wade.

A l’intérieur, huit autre agents d’Abstergo montaient la garde aux différents étages de la bibliothèque. Que ce soit Pablo, Julien ou Jacinto, les trois assassins furent rapides et efficaces, usant de leurs lames secrètes. Toutefois, leurs nouveaux compagnons n’avaient pas à rougir de leur prestation. Tandis que Desmond et Frédéric brisaient la nuque de leurs cibles, Wade attira le sien dans l’obscurité et l‘étrangla avec ses fils barbelés là où personne ne put le voir faire. Quant à Jeremiah, sa soif se faisant à nouveau sentir depuis longtemps, il plaça sa main droite sur la bouche du templier tandis qu’il le mordait au cou. Une fois abreuvé, il l’égorgea avec une dague afin de dissimuler les traces de sa morsure. L’élimination des gardes avait été rapide et sans bruit si bien que leur cible principale, Anselmo Aznar, n’avait pas été alertée. Le vieil homme déambulant dans les allées tel un rat de bibliothèque, Jacinto fit signe à tous de descendre discrètement à son étage et de se dissimuler parmi les rayonnages de livres.

Ignorant l’intrusion d’individus dans la bibliothèque, Anselmo Aznar vaquait à ses occupations. Il consultait d’anciens livres desquels il semblait tirer de précieuses informations qu’il notait sur une tablette. Tandis qu’il était plongé dans les récits d’antiques templiers, Jacinto se dévoila, apparaissant soudainement dans l’angle de vision d’Aznar. Le vieil homme sursauta en le voyant apparaître aussi brutalement.

« - Buenas tardes, señor Aznar ! »

Le bibliothécaire reconnut de suite l’accoutrement de Jacinto comme étant celui d’un assassin. N’ignorant pas appartenir aux templiers, il savait parfaitement comment se finissait une telle rencontre. Il prit peur et tenta de s’enfuir en changeant plusieurs fois de rangées. Mais à chaque fois, il vit un nouvel ennemi. Courant à perdre haleine, il finit par se cogner contre Frédéric et tomber à la renverse.

« - Pitié ! Je ne suis qu’un vieil homme ! » dit-il.

« - Anselmo, voyons ! Tu es loin d’être bête, ne nous fait pas l’affront de croire que nous le sommes en retour ! » lui répondit Julien, juché sur le sommet d’un rayonnage.

« - Que ... que voulez-vous ? »

« - Bien, nous avançons ! » dit Julien qui fit un signe de tête à Jacinto de poursuivre.

« - Pourquoi les templiers viennent vous voir si fréquemment, señor Aznar ? »

« - Je travaille pour eux, c’est normal qu’ils viennent voir si l’argent qu’ils investissent dans mon travail porte ses fruits » répondit le vieil homme.

« - Anselmo ! Qu’est-ce que je t’ai déjà dit ? Nous ne sommes pas nés de la dernière pluie » le rappela à l’ordre Julien.

« - Ils cherchent une relique ! » répondit rapidement Aznar.

« - Les templiers recherchent toujours des reliques ! Il nous fait perdre notre temps ce vieux bouc ! » intervint Pablo.

« - La Pierre Philosophale ! Ils recherchent la Pierre Philosophale ! »

« - Voilà qui est bien mieux ! Et où pensez-vous qu’elle se trouve en ce moment, señor Aznar ? »

« - Je ne sais pas » répondit le bibliothécaire.

« - Mais je sais où elle se trouvera dans quelques jours ! » se reprit-il vivement.

« - Tu vas cracher le morceau, oui ? » le pressa Pablo.

« - Fai ... Faisons un marché ! Ma vie contre cette information ! » dit alors le vieil homme.

« - Aurais-tu peur de pourrir en Enfer, Anselmo ? » lui demanda Julien.

« - Si vous nous dites où et quand se trouvera la pierre, je vous donne ma parole qu’aucun d’entre nous ne vous tuera pour le simple fait que vous soyez un templier, señor Aznar ! » répondit Jacinto.

Le bibliothécaire se releva péniblement.

« - La Pierre se trouvera à Cadix dans trois jours ».

Jacinto fit un signe de tête à Frédéric de le laisser passer. Le vieil homme s’empressa alors de passer et de fuir à travers les rayonnages. La seconde suivante, il fit un second signe de tête à l’attention de Julien. L’assassin ne se fit pas prier et s’élança à la poursuite d’Aznar.

« - Vous lui aviez juré de ne pas le tuer ! » s’indigna Frédéric.

« - Pas exactement ! Je lui ai juré de ne pas le tuer pour le fait qu’il est un templier. En revanche, je ne lui ai jamais promis que nous ne le châtierions pas pour ses autres pêchés » répondit Jacinto.

Alors que Jacinto venait d’achever sa phrase, Frédéric entendit un son étouffé lorsque Julien s’abattit sur Anselmo à quelques rayons d’ici. L’assassin lui avait planté sa lame secrète dans un rein pour ne pas le tuer de suite.

« - Quels sont ses autres pêchés ? » demanda le vampire.

« - Aznar est un pédophile en activité » répondit sobrement Jacinto.

« - C’est pas réservé aux prêtres, ça ? » dit Desmond.

« - Comment cela se fait-il qu’il n’a jamais été inquiété ? » demanda Frédéric en contrôlant sa colère.

« - D’après Julien, il use d’une drogue qui rend l’esprit malléable, ainsi ses victimes n’ont pas l’impression d’en être ».

« - La mort est un châtiment trop doux ! » rétorqua Jeremiah.

« - T’inquiètes, il a eu le temps de jongler ! » lui assura Julien qui revenait en essuyant sa lame sur un morceau d’étoffe arraché à la tenue d’Aznar.

« - Alors ? » lui demanda Jacinto.

« - Pepe Fraga ! » répondit Julien.

« - Qui est-ce ? » demanda Frédéric.

« - Celui qui lui a procuré cette saloperie de dope » dit Julien.

« - Et notre prochaine cible ! » ajouta Jacinto.
_____________

A suivre dans le chapitre 246 - Visite nocturne de Séville
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Chapitre 245 - Sous le signe du rat :: Commentaires

Shion
Re: Chapitre 245 - Sous le signe du rat
Message Dim 5 Avr - 21:32 par Shion
Desmond fan du Seigneur des Anneaux XD

Je me doutais bien que la précision de Jacinto sur le fait d'épargner Aznar n'était pas anodine... Je ne m'étais pas trompé.
 

Chapitre 245 - Sous le signe du rat

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