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 Chapitre 354 - Raviver les braises

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Jezekiel
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Jezekiel


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Localisation : Poitiers, Vienne, France

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02072017
MessageChapitre 354 - Raviver les braises

Terre  864 - Parc National du Mercantour

A voir David debout, métamorphosé en lycanthrope tout comme elle, Milla savait qu’elle avait bien fait de mettre en place ce stratagème. Échanger de vêtements avec le chasseur qu’elle avait tué en revenant de La Brigue n’était nullement destiné à ses collègues mais à David. Elle en avait eu l’idée après l’avoir retrouvé rampant sur le sol de son cabanon. Même si elle n’en avait eu nullement besoin, il avait tenté de lui venir en aide. Étant donné l’état de ses jambes à ce moment, il lui avait fallu une sacrée dose de volonté. Outre le fait de lui avoir permis de ramper jusque-là, celle-ci semblait avoir stimulé inconsciemment son système régénératif. Son hypothèse était désormais validée. Non seulement, ses jambes s’étaient entièrement remises mais en plus, soumis au stress d’un combat à mort, il avait retrouvé les instincts de sa part animale. C’est alors que David reprit sa forme humaine, et tira Milla de ses réflexions. L’homme observa le cadavre sous le filet métallique.

« - Dois-t-on les enterrer ? » demanda-t-il, sans la moindre once d’émotion dans la voix.

« - Nous nous épuiserions pour rien. La boîte qui les embauche sait déjà qu’ils sont morts » répondit Milla en fronçant les sourcils.

« - Cela signifie que d’autres vont venir ? »

« - Si on ne fait rien, très certainement ».

Milla chercha alors dans les poches des vêtements qu’elle portait et qui appartenait il y a encore peu au mort sous le filet. Elle en sortit son oreillette et les clefs de son véhicule.

« - Regarde si l’un d’entre eux fait ta taille et rejoins-moi à sa voiture » fit-elle en souriant.

« - Comment ... »

David s’interrompit alors que les balles ressortaient de son torse et tombaient au sol. Milla n’en laissa rien paraître mais trouva la vitesse avec laquelle les projectiles étaient expulsés de son organisme drôlement rapide. Peut-être qu’aussi sollicité, son système régénératif tournait à plein régime.

« - Tu disais ? »

« - Comment je fais pour savoir où se trouve sa voiture ? »

Milla se mit alors à sourire. Autant commencer son entraînement tout de suite.

« - Étonne-moi ! » dit-elle avant de s’élancer à travers la forêt.

Malgré sa vue nouvellement aiguisée, David perdit Milla de vue rapidement. La jeune femme lui faisait penser à un fauve ; une panthère qui se déplace sans bruit et se fond dans le décor en un clin d’œil.

Une fois seul, David se demanda un instant pourquoi Milla lui avait demandé de vérifier la taille de ces hommes. Puis il repensa à sa chemise, perforée par de multiples balles. Il ne pouvait décemment pas se promener avec une telle passoire sur le dos. Mais outre la chemise, il se rendit compte qu’il devait également changer de pantalon. Celui-ci n’avait pas apprécié sa transformation. Effectivement, il allait devoir vérifier si l’un de ceux qu’il avait tué faisait sa taille. Dans l’absolu, il écarta ses première, deuxième et quatrième victimes. Elles semblaient bien plus petites que lui. Il observa le troisième homme, celui à la carrure impressionnante, et estima qu’il était trop grand. En plus il avait eu la mauvaise idée de lui tirer en pleine poitrine. Il se dirigea alors vers le cinquième homme. Lui semblait approximativement faire sa taille. Sur cinq hommes, un seul avait le même gabarit que lui, une chance. Il lui ôta sa veste sans difficultés. Lui ôter le t-shirt serait une autre paire de manches. Après lui avoir défoncé le crâne ainsi, il serait délicat de lui retirer le t-shirt sans le tacher. Il préféra ne rien en faire. Après quoi, il lui retira les rangers et s’apprêta à lui retirer le pantalon quand il s’immobilisa. Si jamais il devait se transformer à nouveau, ce pantalon, comme le sien, ne résisterait pas et craquerait de toutes parts. Prenant les rangers, il se releva et retourna vers le troisième homme. Avec un pantalon aussi large, il ne risquerait pas de se promener cul nu de si tôt pensa-t-il.

Habillé des pieds à la tête, David devait dorénavant retrouver Milla ... mais comment ? Il l’avait vue prendre une direction mais l’avait rapidement perdue. Dorénavant, elle était également bien trop loin pour la suivre à l’ouïe. Il se souvint alors avoir senti l’aftershave et la transpiration de ses deux dernières victimes avant de les tuer. Cela lui avait permis de les situer sans avoir besoin de les voir. Se trouvant quelque peu ridicule rien que de penser à faire ce qui allait suivre, David se hasarda à humer l’air. C’est alors qu’il eut la stupéfaction de reconnaître l’odeur de Milla. Il se mit à remonter la piste olfactive de la jeune femme d’abord en marchant. Puis, décelant parfaitement l’effluve laissée par Milla, il se mit à courir à travers la forêt. Au bout de quelques minutes, il la retrouva sur l’aire de stationnement où se trouvaient deux véhicules. Milla sortit de derrière l’un d’eux.

« - Alors ? Tu te sens comment ? » lui fit-elle.

« - Comme un vulgaire chien de chasse » répliqua-t-il, dépité.

La moue sur le visage de David fit rire Milla.

« - Tu as trouvé chaussure à ton pied ? »

« - Ouais. Tu verrais les autres, on dirait une sauterie gay qui a dégénéré ».

A nouveau Milla se mit à rire. Même si elle avait éprouvé un certains contentement récemment dans ses interactions avec autrui, cela faisait bien longtemps qu’elle n’avait pas ri ... vraiment ri. Pas un rire de façade, de société, un vrai rire spontané. Lorsqu’elle le réalisa, cela la perturba un bref instant. Cet homme, David, dont elle venait tout juste de faire la connaissance, et qu’elle avait accessoirement baptisé, la faisait rire. Ce n’était pas son genre de se laisser aller ainsi avec quiconque. Celui-ci trancha ces idées en ouvrant la bouche.

« - Tu as trouvé quelque chose pendant que je jouais à Pretty Woman ? »

Milla saisit la référence et fut particulièrement intriguée que David soit capable de la sortir. Elle l’interrogea d’un regard sans équivoque. Mais David fut aussi surpris qu’elle qu’il puisse sortir ce genre de phrase. Il fit une grimace synonyme de « je ne sais pas d’où ça m’est venu ».

Des réminiscences de son passé lui revenaient. Mais peu importe. Pour le moment, ils devaient se concentrer sur tout autre chose. Bien que l’homme qui l’avait suivie de La Brigue semblait être un vrai fantôme aux identités multiples, Milla avait tout de même trouvé quelque chose d’intéressant ; un téléphone portable à l’aspect peu ordinaire. Bien plus gros que tout ce qui se faisait en ce moment, il n’était néanmoins pas démodé, au contraire. Il était doté d’une reconnaissance biométrique pour le déverrouillage et devait sûrement passer par des satellites dédiés pour une connexion optimale. Ce n’était pas le genre de matériel mis à la disposition du premier venu.

« - Ne me dis pas qu’il va falloir retourner dans la forêt pour énucléer ce pauvre diable ? » fit David, peu enjoué à l’idée de devoir le faire ou le voir faire.

« - Nooon ... Il nous faut juste lui couper un pouce » fit Milla en le dépassant, souriante, et s’enfonçant sous les arbres.

Milla ne fut absente qu’un bref instant, mais cela suffit à David pour se poser des questions qu’il lui soumit avant d’aller plus loin.

« - Pourquoi des mercenaires armés jusqu’aux dents en ont-ils après toi ? » la cueillit-il à son retour.

Souriante à l’idée de faire une petite vanne au sujet du doigt, le visage de Milla changea du tout au tout en entendant ces mots. Il était normal que David se pose ce genre de questions ; elle espérait simplement qu’elles n’arrivent que plus tard. Elle n’avait pas le choix, même si ses sens étaient toujours en train de s’éveiller, qui sait à quel point ils s’étaient redéveloppés ? Si elle lui mentait, le saurait-il ? Elle ne pouvait pas prendre ce risque.

« - Ces hommes-ci sont à mes trousses parce que j’ai tué leurs prédécesseurs » dit-elle froidement.

« - Pardon ? ... Mais t’en as tué combien ? »

« - Seulement ceux qui le méritaient ! »

« - Ah ! Okay ! Bon ben ça va alors ! Et les précédents ? Pourquoi voulaient-ils te tuer ? »

« - Parce que j’ai tué un bourge ».

« - Et ? »

« - Ce salopard s’adonnait à la chasse à partir d’un hélico au-dessus du Parc du Mercantour ... une réserve naturelle ! » répondit Milla en fronçant les sourcils.

David fut déstabilisé quelques secondes durant ... avant de froncer les sourcils de colère.

« - Ces enculés pensent que l’argent leur donne tous les droits. Il y en a des milliers à travers le monde qui pensent cela, qui déciment la faune, qui ravagent la flore, qui martyrisent notre planète pour leur simple plaisir ! Crois-tu que ces enflures ont droit à un traitement différent que celui qu’ils réservent à la vie ? »

David avait fermé les yeux sous les paroles de Milla, tout en fronçant les sourcils. Ces odieux méfaits semblaient lui torturer l’esprit. Il sentait qu’au fond de lui, durant la partie de sa vie dont il ne se souvenait plus, il abhorrait ce genre d’actes. Il avait même le sentiment qu’il les combattait. Quelque chose s’éveilla alors en lui, comme une parcelle oubliée de son être, comme un volcan endormi qui soudain entre en éruption. Alors lorsque Milla finit sur cette question, David releva la tête et rouvrit les yeux.

« - Certainement pas ! » répondit-il, le ton plein de hargne.

« - On fait quoi maintenant ? »

« - J’ai un ami qui s’y connait en technologie de pointe ... mais avant faut placer ce doigt au frais ».

A bord du véhicule de Milla, ils se rendirent d’abord à La Brigue afin de réfrigérer le pouce du mercenaire ... à l’aide d’un sac plastique et d’un peu de glace. Après quoi ils prirent la direction de Monaco.

La principauté se trouvait à moins de deux heures de route de La Brigue, c’est ainsi qu’ils arrivèrent en ville au crépuscule. La ville monégasque présentait le PNB par habitant le plus élevé au monde. Il était donc monnaie courante de voir circuler des véhicules luxueux par dizaines. Autant dire qu’en arrivant sur l’avenue du Professeur Langevin à bord d’un range rover, le contraste fut saisissant. A Monaco, on ne se retournait pas pour admirer une voiture de course hors de prix mais plutôt pour ironiser sur les rares tacots qui osaient s’aventurer dans la principauté. David et Milla ne firent pas exception. Ils se firent remarquer tout au long de leur trajet, soit jusqu’à l’avenue des Guelfes. A peine furent-ils arrivés sur l’avenue que Milla décèlera sensiblement. Elle semblait chercher quelque chose de précis.
Le remarquant, David se mit à regarder un peu autour d’eux. Au premier regard, n’importe qui pouvait se rendre compte qu’il était arrivé dans un autre monde. Les rues étaient impeccables, il n’y avait pas le moindre tag où que ce soit. Même les poubelles étaient parfaitement alignées, poussant le vice d’être rangées par ordre de taille. Sûrement l’œuvre d’un maniaque qui n’avait que ça à faire de ses journées pensa David. Côté végétation, les pelouses étaient toutes impeccablement entretenues. David s’amusa en imaginant des agents du service public à genoux en train de mesure chaque brin d’herbe. Autre chose de frappant : les arbres. Ici, il n’y avait guère de peupliers, d’hêtres ou d’essences européennes classiques. C’était une profusion de palmiers. Laissant son regard divaguer, ses yeux furent soudainement attirés par quelque chose d’ordinaire insignifiant ... mais pas ici. Les panneaux d’indications semblaient eux-mêmes dorés. Bien sûr ils n’étaient pas en or mais le fait qu’ils soient dorés plutôt qu’une vulgaire couleur métallique en disait long sur cette ville. David approcha la tête de la vitre et leva les yeux vers le ciel. Ici, pas d’HLM, les logements collectifs ressemblaient tous à des palaces. Il croyait rêver en voyant tout ce faste. Qui donc avait les moyens de vivre ici.

Après quelques minutes, le son du clignotant tira David de ses songes. Il eut tout juste le temps de lire ce qui était indiqué sur le panneau : Fourrière. Leur véhicule s’enfonça rapidement dans un souterrain. Comment pouvait-il en être autrement ? Une fourrière ne pouvait être à ciel ouvert alors qu’elle se trouvait aux pieds de bâtiments si luxueux.
Dans le souterrain, Milla se gara non loin de la guérite des gardes et descendit sans attendre.

« - On continue à pieds ? » demanda David.

Milla sourit.

« - Oui mais on n’a pas loin à aller » fit-elle en se dirigeant vers la guérite.

Intrigué, David la suivit. Milla cogna à la vitre de la guérite. La silhouette d’un homme d’une corpulence certaine sursauta. Il se retourna vers la vitre et s’immobilisa un instant. Il se leva tout en poussant un grognement et vint coulisser la vitre sur laquelle Milla venait de frapper.

« - Putain ! Qu’est-ce que tu fiches ici ? Et c’est qui lui ? » grogna l’homme manifestement obèse.

« - C’est ... un ami ! » fit-elle.

« - Mais pourquoi je te demande ça ? J’en ai rien à foutre ! Barrez-vous de là, vous allez me griller ! »

David fronça les sourcils et fit un pas en avant. L’ayant senti faire dans son dos, Milla lui fit un signe de la main de ne rien faire.

« - Micha, Micha, Micha, Micha. Aurais-je eu la négligence de te faire croire que tu pouvais me parler sur ce ton ? » répliqua Milla avec un grand sourire.

Bien qu’il soit fort cordial et avenant, même Micha ne s’y laissa pas prendre. Le colosse lipidique déglutit. David aperçut même une goutte de sueur se former sur son front et dégouliner le long de son nez porcin.

« - J’ai eu une dure journée, je n’aurais pas dû te parler ainsi » finit-il par dire.

David se racla la gorge un coup.

« - Excuse-moi, Milla et ... qui que vous soyez ».

Milla ne cessa pas de sourire. Elle sortit alors le téléphone crypté du mercenaire et le tendit à Micha.

« - J’ai besoin que tu me sortes tout ce que tu peux de ce téléphone » lui dit-elle.

Immédiatement, Micha l’alluma et vit la sécurité biométrique.

« - J’imagine que vous avez son propriétaire dans votre coffre » fit-il.

C’est alors que David sortit le sac plastique de sa poche et le jeta à Micha sans avertissement. Lorsqu’il comprit ce qu’il s’y trouvait, il eut un mouvement de recul. Il prit bien soin de saisir le pouce par l’intermédiaire du sac plastique et l’apposa sur le téléphone.

« - Bien ! La première sécurité est passée ... le reste ne sera plus qu’un jeu d’enfant, aussi vrai que je m’appelle Michacolovitch Ratspoutine ».

David trouva son nom quelque peu étrange mais ne s’y attarda pas. L’obèse referma la vitre et se renferma au fond de sa guérite. David s’avança de quelques pas et l’observa faire. Micha ne perdait pas une seconde. Il brancha rapidement le téléphone sur son poste informatique et exécuta plusieurs logiciels de crackage en simultané.

« - On peut lui faire confiance ? » demanda David.

« - Dans la mesure du possible ? ... Oui ! Il m’est redevable à vie ... ce qui peut être synonyme de très longtemps dans son cas » répondit Milla en souriant.

« - Qu’est-ce que tu veux dire ? ... Il est comme nous ? » s’étonna David.

« - Si tu demandes s’il est un cryptide, alors oui. Si tu demandes si c’est un lycanthrope, alors non, il n’est pas comme nous  ... »

Milla s’avança très proche de David et poursuivit en lui chuchotant à l’oreille.

« - ... t’imagines un lycanthrope avec un embonpoint pareil ? »

Tous les deux se mirent à rire.

« - Si ce n’est pas un lycanthrope, qu’est-ce qu’il est ? »

« - Un vampire » fit-elle en regardant David droit dans les yeux.

David s’immobilisa un instant. Il savait ce qu’était un vampire. Il sentait au fond de son esprit que cela ne venait pas de son subconscient. Le terme de vampire lui semblait très familier. Non, pas le terme, plus que ça. Pourquoi ce mot précis semblait stimuler sa mémoire plus que toute autre chose jusqu’à présent ? Des images vinrent alors l’assaillir brutalement, tels de puissants flash. Il se prit alors la tête entre ses mains. Il vit un homme émacié à la chevelure longue et noire lui mordre le poignet. Un autre, un dément barbouillé de sang parmi les flammes d’une ancienne auberge. Une femme brune à l’aura maléfique au milieu d’un couloir de ce qui semblait être du cristal. Une silhouette prise dans la glace et un monde ravagé, plongé dans une obscurité éternelle. Puis il revit le premier homme, tantôt avec des cheveux noirs, tantôt avec des cheveux blancs, dans de multiples arrêts sur image. Lorsque ce fut fini, David dit un seul mot, ou plutôt un nom : « - Jeremiah ».

« - Qui est-ce ? » demanda Milla, inquiète de sa crise.

« - Je ne suis pas sûr de savoir encore qui il est mais ... je me souviens de lui. C’est un vampire également que, semble-t-il, j’ai côtoyé à plusieurs reprises » répondit David, ravi de se souvenir enfin d’un élément de son passé.

« - Et tu te rappelles d’autre chose ? »

« - Oui, il m’appelait Frédéric ... c’est mon nom ! »
_____________

Note 1 : Avenue des Guelfes à Monaco
Chapitre 354 - Raviver les braises Babel_10
Comme à chaque fois que je fais intervenir une action dans une ville réelle, je m'amuse à coller à la réalité.
Preuve en image grâce au Street View de Google Map.
On constate que les panneaux signalétiques ont une tranche dorée, que la fourrière de Monaco est bien en sous-sol aux pieds d'immeubles plus luxueux que nos HLM ... et sur l'avenue des guelfes Wink
_____________

A suivre dans le chapitre 355 : Rallumer les passions
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Chapitre 354 - Raviver les braises :: Commentaires

Shion
Re: Chapitre 354 - Raviver les braises
Message Lun 3 Juil - 22:45 par Shion
Intéressant, David semble bien être notre Frédéric donc Razz
Jezekiel
Re: Chapitre 354 - Raviver les braises
Message Lun 3 Juil - 22:57 par Jezekiel
Je t'invite à relire la première phrase de ce livre Wink
Shion
Re: Chapitre 354 - Raviver les braises
Message Mar 4 Juil - 10:14 par Shion
Je n'avais pas vraiment fait gaffe à cette phrase il y a 3 semaines. C'est fort intrigant.
Jezekiel
Re: Chapitre 354 - Raviver les braises
Message Mar 4 Juil - 17:23 par Jezekiel
Sais-tu d'où ça vient ?
Shion
Re: Chapitre 354 - Raviver les braises
Message Mer 5 Juil - 11:16 par Shion
Pas du tout. Je pensais que c'était de ton cru ^^
Jezekiel
Re: Chapitre 354 - Raviver les braises
Message Mer 5 Juil - 16:55 par Jezekiel
Ah oui, c'est de mon cru !
C'est même ce que dit l'entité mystérieuse à la fin du livre III ... c'était là que je voulais t'emmener.
Re: Chapitre 354 - Raviver les braises
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Chapitre 354 - Raviver les braises

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