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 Chapitre 338 - le Feu aux poudres, part 3 : Étincelle

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Jezekiel
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Jezekiel


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05032017
MessageChapitre 338 - le Feu aux poudres, part 3 : Étincelle

Terre 6354 - Siège de l’Unicorps - Étages supérieurs

Devenu un véritable fou furieux, Ross laissait libre cours à son pouvoir nouvellement déchaîné par le Mastercorps. Il chauffait tellement l’air autour de lui que tout s’enflammait spontanément. Ces nouvelles flammes alimentaient le processus, le propageaient et l’accéléraient. A ce rythme, il allait bel et bien mettre sa menace à exécution, à savoir incinérer l’entièreté du bâtiment, les rescapés qu’ils s’étaient tous évertués d’escorter jusqu’ici compris.
Cela, Frédéric ne le permettrait pas. Il était hors de question que des civils meurent à nouveau en sa présence. Il intensifia alors ses flammes et se propulsa en trombe sur Ross. Avec la puissance d’une roquette, Frédéric l’empoigna. Ils traversèrent ainsi tout l’étage, traversant les bureaux, les vitres, les cloisons et tout ce qui se dressait sur leur chemin jusqu’à passer au travers d’une fenêtre. A l’air libre, Frédéric commença une folle ascension tout en serrant ses mains autour du cou de Ross. Mais ce dernier ne se laissa pas faire. Il se débattit comme un beau diable. Au bout de quelques secondes, il cessa de se débattre et se mit à rire. Frédéric fut stupéfait. Comment parvenait-il à rire alors qu’il l’étranglait de toutes ses forces ?

« - Je ne suis plus humain ! J’AI TRANSCENDÉ MA CONDITION !! » s’esclaffa-t-il.

La seconde suivante, il plaça ses mains sur l’abdomen de Frédéric et créa une puissante déferlante de flammes. L’attaque fut si puissance et soudaine que Frédéric fut forcé de le lâcher. Libéré, Ross créa une véritable tornade de flammes autour de lui pour se mettre à voler à son tour. Soudain, une explosion attira l’attention des deux hommes. Elle se situait sous leurs pieds et contre la façade du siège de l’Unicorps. Une seconde suivit immédiatement. Tous deux virent alors d’où venaient les attaques. Il s’agissait d’un homme entouré d’une énergie rouge sang qui lançait des boules d’énergie dévastatrices contre l’immeuble.

« - AH ! AH ! AH ! BIENVENUE A LA FÊTE, CAMARADE !!! » lança Ross à l’inconnu.

Frédéric était face à un dilemme : poursuivre son affrontement contre Ross ou stopper ce nouvel antagoniste.

« - JE M’EN OCCUPE ! » cria alors un nouvel intervenant en les dépassant tous les deux.

Tout ce qu’ils virent fut une trainée d’énergie laiteuse. Frédéric et Ross la reconnurent de suite. Il s’agissait d’Hector, membre de la F.F. Oblivion, qui restait toujours sur la réserve. Certainement celui qui avait le plus grand self control de l’équipe.

« - Ça devient intéressant ! Hector contre son double du Mastercorps ! Je vais vite te défoncer pour assister à ce passionnant combat ! » fit Ross.

Frédéric se retourna vivement vers Ross pour voir ses flammes prendre la forme d’une sphère de deux mètres de diamètre autour de lui.

« - DIT ADIEU ! » cria alors Ross.

Ross provoqua alors un torrent de flammes à l’intensité inégalée jusque-là. Frédéric se la prit de plein fouet mais parvint à y faire face. Bien qu’il sentait la chaleur des flammes de son ennemi, ce n’était pas ça qui l’inquiétait le plus. C’était plutôt la monstrueuse poussée qu’il encaissait et qui le forçait à reculer petit à petit. Il se rappela alors la position dans laquelle il se trouvait, dos au siège de l’Unicorps. Ross avait l’intention de l’y projeter pour incendier l’immeuble et ses occupants.

La colère de Frédéric commença à monter. Il intensifia alors ses flammes jusqu’à parvenir à stopper son recul. Mieux, après quelques secondes, il commençait même à repousser les flammes de Ross.

« - ESPÈCE D’ENFOIRÉ ! TU TE CROIS TOUJOURS MEILLEUR QUE MOI ?? ... ON VA VOIR COMMENT TU TE DÉMERDES SANS TES FLAMMES ! »

Le temps qu’il comprenne ce que Ross lui préparait, il était trop tard. La poussée qu’exerçait Ross disparut soudainement. Pire, cette fois, il se sentait attiré à lui. Non pas lui mais ses flammes. En quelques secondes Frédéric vit ses flammes s’éteindre purement et simplement. Immédiatement, il commença à chuter. Ross accompagna sa chute, aspirant ses flammes à chaque fois que Frédéric tentait de les rallumer pour s’éviter une chute mortelle. A plusieurs reprises, Frédéric tenta d’agripper Ross qui le narguait de très près. Mais tout ce qu’il vit fut une sorte de sourire infernal dessiné par ses flammes.

« - Tu sais quoi ? Tu vas bientôt finir en sauce tomate au sol ... ET J’IRAI TROUVER TA CHIENNE ET LA FAIRE COUINER ! HA HA HA ! »

« - ... Sandora ? ... SANDORAAAA !! » cria alors Frédéric juste avant d’impacter le sol avec fracas.
_____________

Terre 531 - Le Mans - Camping de la Horde

Thibault resta auprès d’Émile quelques minutes, le temps que Marc passe la consigne au reste de la horde. Ils restèrent tout ce temps adossés au véhicule dans le plus parfait silence. Bien que leader d’une véritable troupe, Thibault était coutumier du fait de garder le silence durant de longs laps de temps afin d’observer son interlocuteur. Quant à Émile, ancien agoraphobe, il n’avait pas pour habitude de déblatérer à tout va. Lorsque Marc revint vers eux, Thibault prit congé de son nouvel hôte.

« - La journée de demain promet d’être bien remplie, reposez-vous donc bien » lui adressa-t-il, le laissant aux bons soins de Marc.

Manifestement son second, Marc le fit traverser le camping. Les camping cars étaient nombreux et représentaient la majeure partie du camping. Juste derrière, les caravanes leur succédaient en terme de nombre. A vrai dire il y avait relativement peu de mobiles homes.
Remontant l’allée centrale, Émile observa les véhicules qui y étaient garés. La très grande majorité était des véhicules tout terrains allant du SUV au pick-up en passant par quelques vieilles guimbardes customisées et surgonflées à la limite du monstertruck. Émile s’étonna encore lui-même de savoir ce genre de choses grâce aux connaissances d’Émilien.
Sur de nombreuses places de camping, devant leurs logis, les occupants étaient de sortie. Ils s’occupaient soit à bricoler leurs véhicules, soit tout simplement à descendre des bières en compagnie de leurs potes. Mais quoi qu’ils étaient en train de faire, immanquablement, ils connurent tous la même réaction lorsque Émile passa. Ils cessèrent immédiatement leurs activités. Ils se redressèrent et observèrent Émile passer en silence. Leur attitude n’était pas menaçante mais plutôt dérangeante. Émile sentait qu’il n’était pas à sa place ici. Croisant le regard de certains d’entre eux, il vit leurs yeux luirent un bref instant, comme s’ils étaient incandescents. Bien que glaçants, il mit cela sur le compte de reflets des flammes de leurs feux de camps ou de barbecue.

« - Ne prenez pas ombrage de leur comportement. Il est rare qu’ils voient de nouvelles têtes au camping » lui adressa Marc.

Finalement, ils arrivèrent à une petite caravane sombre, tandis que du coin de l’œil, Émile vit Thibault entrer dans l’un des plus spacieux mobiles homes. Marc ouvrit la porte de la caravane.

« - Ne vous fiez pas à son aspect extérieur, cette caravane est très confortable » indiqua Marc.

Celui-ci passa la main à l’intérieur et actionna l’interrupteur. Émile monta la marche et pénétra dans le logis de fortune. Il l’observa et vit la présence d’un grand lit qui occupait près de la moitié de l’espace. A côté de ça il y avait une minuscule table de cuisson avec un seul feu, un évier extrêmement petit et un petit placard pour y ranger ses vêtements.

« - La nuit est déjà bien avancée, donc reposez-vous bien » fit aimablement Marc avant de refermer la porte.

Enfin seul, Émile put souffler un peu et se décontracter quelque peu. Il plaça sa mallette dans le placard et but un verre d’eau. Curieusement, il n’avait pas faim. Il était trop excité pour cela. Néanmoins, il ôta ses chaussures et s’allongea sur le lit pour tenter de se reposer un tant soit peu. Comme l’avait dit Marc, la caravane, et surtout son lit, étaient bien plus confortables qu’on pouvait le croire. Toutefois, il ne parvint pas à trouver le sommeil. Il n’était pas à son aise.

Après ce qui lui parut une éternité, il jeta un coup d’œil à l’écran LCD rouge du réveil. 2h36 du matin. Après s’être estompé progressivement, le bruit émis par les divers petits regroupements s’était totalement tu. Le silence régnait.
Soudain, un bruissement de feuilles à proximité de sa caravane le fit sortir de son début de somnolence. Il ne savait pas pourquoi mais son instinct lui hurlait que ce n’était pas normal. D’un geste il se redressa, les sens sur le qui-vive. Il refixa à son bras la miniature de la foreuse solaire qu’il avait détachée après s’être allongé. Puis il se releva et se tint immobile. Soudain un cri déchira le silence. Il fut rapidement suivi de grognements et de cris animal.

Qu’est-ce qui se passait ?
_____________

Univers 9105 - Planète Janus 24 δ

Bien qu’il devait arrêter Hitler à tout prix, cela ne signifiait pas se jeter dans la gueule du loup pour autant. Pour le moment, même s’il ignorait leur présence, le nazi était en pleine montée de puissance. Il était hors de question de l’attaquer maintenant. Néanmoins, à en croire les colonnes de flammes qui déchiraient le ciel régulièrement depuis leur arrivée dans cette dimension, cet état de fait n’allait pas durer. Le nazi ne parviendrait pas à tenir la charge indéfiniment et devrait expulser toute l’énergie accumulée tôt ou tard. C’est ce moment qu’il choisirait pour frapper et tuer cette ordure. En attendant, Frédéric devait attendre là, impuissant face au terrible spectacle auquel il assistait. Des brèches s’ouvraient dans le ciel et donnaient sur les autres versions du multivers. Il reconnut immédiatement les brèches ouvertes sur Janus 24 γ et son orage perpétuel.

Soudain des cris stridents se firent entendre. Frédéric et Isaac les reconnurent immédiatement pour les avoir déjà entendus. Il s’agissait d’une meute de metroïds. Comment cela pouvait-il être possible ? Isaac n’avait détecté que quatre formes de vie sur cette planète. Tous deux se retournèrent pour voir apparaître non loin derrière eux une brèche dimensionnelle donnant sur un espace particulièrement sombre : Janus 24 β, la Janus 24 sombre à l’atmosphère hautement toxique. Mais ce n’était pas la toxicité de cette version de Janus 24 qui les stupéfia, ce fut plutôt ce qu’ils voyaient à travers la brèche. Une horde de metroïds aussi sombres que l’ébène, dotés d’une carapace qui enveloppait totalement leur corps [1], harcelait une créature humanoïde ailée tirant des jets de lumière vive. Malgré leur évidente faiblesse à ces attaques, les metroïds poursuivaient leurs offensives jusqu’au moment où, dans le feu de l’action, ils traversèrent la brèche dimensionnelle. Dès cet instant, le sort en fut jeté pour la créature ailée. A peine eut-il posé le pied sur la Janus 24 δ que l’énergie de ses tirs de lumière fut déviée et siphonnée par Hitler. Leur proie dépourvue de moyens de se défendre, ce fut le signal de la curée pour les metroïds. Ils fondirent sur l’ange et lui ponctionnèrent toute son énergie vitale en à peine quelques secondes. Les ailes scintillantes de l’ange se ternirent tandis que son corps se rabougrissait comme un raisin sec. Figé dans une posture d’indicible douleur, le corps de l’ange finit par s’effriter et tomber en poussière. Nullement rassasiés, les metroïds semblèrent observer les alentours à la recherche d’une nouvelle proie. Ils ne tardèrent pas à détecter la présence de Frédéric. Immédiatement ils s’élancèrent vers lui tel un essaim furieux.

« - Et merde ! » lâcha Frédéric qui se redressa.

Au moment où il s’enveloppait de flammes rouges, celles-ci disparurent immédiatement ... lui rappelant amèrement le siphon d’énergie que le nazi exerçait au fond de la carrière. Il allait devoir redoubler d’efforts pour maintenir ses flammes et combattre ces metroïds. Il se renflamma et parvint à maintenir ses flammes en les faisant brûler à une rare intensité. L’essaim s’étant suffisamment rapproché, Frédéric jugea que c’était le bon moment pour attaquer. Il produisit une gigantesque boule de feu rouge en leur direction. Mais le temps qu’elle impacte l’essaim, elle avait perdu les neuf dixièmes de sa puissance et ne carbonisa qu’un seul des metroïds au lieu de tout l’essaim.

Au plus profond de la carrière, le nazi se demanda à voix haute, et dans sa langue natale, ce qui venait de se passer. Il poussa un cri mêlé de joie et d’enivrement ... un peu comme si ce surplus de puissance l’avait rendu saoul un bref instant.

« - JAWOHL ! JAWOHL ! WIEDER ! WIEDER ! WIEDER ! »

Ce cri de joie glaça le sang de Frédéric pourtant concentré sur l’essaim en approche. Ne pouvant utiliser ses flammes à distance, il allait devoir les combattre au corps à corps. Il se métamorphosa en loup et s’élança à leur rencontre. Il traversa l’essaim en empoignant l’un d’entre eux et en le carbonisant entre ses mains. Cette technique allait prendre un sacré bout de temps. Mais au moment où il se retournait vers l’essaim, l’un des metroïds vint se fixer à sa poitrine malgré les flammes qui l’enveloppaient. Frédéric sentit de suite son énergie vitale être aspirée. Semble-t-il que l’énergie vitale que le metroïd lui pompait lui permettait de subir l’intense brûlure des flammes rouges. Comprenant cela en une fraction de seconde, Frédéric l’agrippa à pleines mains et l’arracha avec grande peine de son torse. Il l’incinéra en à peine quelques secondes. Mais cet effort sembla lui coûter très cher. Il mit un genou au sol, le torse sanguinolent et quelque peu essoufflé. Le prélèvement de son énergie vitale l’avait quelque peu amoindri. Dans des circonstances ordinaires, il ne s’en serait pas inquiété outre mesure. Mais ici, soumis au siphon d’Hitler, il devait fournir le double, voire le triple d’efforts pour maintenir sa flamme, son seul rempart face aux metroïds. Soudain, le pire arriva, l’aura de flammes de Frédéric disparut, siphonnée par le nazi. Il n’avait tué que deux metroïds ... alors qu’il en restait près d’une dizaine qui faisaient déjà volte face pour revenir sur lui.

Soudain, un arc électrique traversa l’essaim, électrocutant chacun des metroïds. Frédéric vit alors avec soulagement qu’Isaac était entré en scène. Le drone tentait de maintenir son arc électrique le plus longtemps possible mais tout comme les flammes de Frédéric, son arc finit par être détourné par le siphon allemand. Quant aux metroïds, ils tombèrent au sol.

« - Ils ne sont pas morts, juste paralysés. Les énergies conventionnelles, comme le feu ordinaire, l’électricité ou les lasers, ne les blessent que superficiellement » déclara le drone.

Frédéric comprit ce qu’Isaac voulait lui dire, il fallait fuir ... mais où ? Il n’y avait aucune cachette possible où s’abriter de ces parasites. Ils ne pouvaient quitter cette dimension tant que le nazi continuerait de siphonner toute énergie autour de lui. Soudain, l’un des metroïds s’envola à nouveau ... pour retomber presque immédiatement au sol, complètement gelé. La seconde suivante, un mini-missile vint le fracasser.

Frédéric et Isaac se retournèrent pour apercevoir la silhouette de Samus foncer vers l’essaim à vive allure. Ce même essaim se remettait tout juste de l’attaque d’Isaac que déjà il subissait un nouvel assaut. Ce dernier fut des plus rapides et violents. En quelques secondes, il n’y avait plus aucune menace et Samus s’immobilisa. Elle se trouvait à mi-chemin entre les restes dispersés de l’essaim et Frédéric, à qui elle tournait le dos. Frédéric s’aperçut rapidement que quelque chose n’allait pas chez Samus. Son armure aux teintes orangées était devenue entièrement noire et irradiait d’une lumière bleue de toutes ses articulations et interstices. Frédéric se releva et avança de quelques pas vers la chasseresse.

« - Samus ? » fit Frédéric, sa voix trahissant de l’inquiétude.

Mais celle-ci ne réagit pas. Au moment où Frédéric allait poser une main sur son épaule, Samus se retourna brutalement. Sa visière autrefois verte brillait dorénavant d’un bleu électrique ... du moins ce qu’il en restait. Partiellement brisée, elle laissait apparaître une partie du visage de Samus. Son teint était devenu pâle et sa peau était zébrée de veines bleues. Le blanc de ses yeux était devenu noir et ses pupilles entièrement blanches.
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A suivre dans le chapitre 339 - le Feu aux poudres, part 4 : Détonation
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[1] : Note 1 : Apparence des metroids issus de la Janus 24 sombre : les Metroids Ing
Chapitre 338 - le Feu aux poudres, part 3 : Étincelle Babel_10
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Note 2 : L'apparence de Samus à la fin du chapitre est un mélange entre sa dernière armure obtenue sur la fin de Metroid Prime 1 et son apparence sur la fin de Metroid Prime 3
Chapitre 338 - le Feu aux poudres, part 3 : Étincelle Babel_10 Chapitre 338 - le Feu aux poudres, part 3 : Étincelle Babel_11
On notera d'ailleurs cette incohérence entre les deux jeux puisque l'armure noire est obtenue lorsqu'un pirate omega s'effondre mort sur Samus et que son armure se gorge alors de phazon.
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Chapitre 338 - le Feu aux poudres, part 3 : Étincelle :: Commentaires

Dans le passé comme dans le présent, le pauvre Frédéric mène des combats bien difficiles.

Sinon, ses hôtes n'ont pas pris la peine de dévoiler leur nature à Emile... Sa réaction risque d'être intéressante...

Quant à Samus, elle a dû en voir des vertes et des pas mûres... Je me demande à quel point elle est consciente...
 

Chapitre 338 - le Feu aux poudres, part 3 : Étincelle

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